OLIVIA

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Lydie de la République Centrafricaine

Lydie de la  République Centrafricaine

LYDIE

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Comprendre les accessoires en corail du mariage traditionnel au Nigeria

Mariage traditionnel d'Estelle en Cote d'Ivoire

Mariage traditionnel d'Estelle en Cote d'Ivoire

TOGO

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Défilé, astuces, et relooking a regarder dans cette émission 100% Mode Ep 1

Coutume omyene/Gabon

Coutume omyene/Gabon

Bretelles ornées de coquillages

mercredi 16 décembre 2009

Histoire et esprit....

le Père Lossedat, cité par André Raponda-Walker et Roger Sillans, justifie la croyance aux mânes des ancêtres en ces termes : « les naturels, ne se rendant pas compte de la marche générale de l'univers, et ne comprenant pas, de ce fait, que les corps soient capables de se mouvoir, ils ont supposé un esprit, une intelligence, partout où ils voyaient le mouvement. Comme tout est mouvement dans la nature, ils l'ont peuplée de génies qui président aux fleuves, aux rivières, aux forêts, aux fourmilières, et par extension aux cavernes, montagnes etc. »162(*). Ainsi, le contact des nga mpuãu, des ngaga avec l'au-delà et les totems (forces surnaturelles) était maintenu par le canal des sociétés secrètes et initiatiques

Source: http://www.memoireonline.com/07/09/2236/m_Administration-coloniale-chefferie-indigene-et-relations-inter-ethniques-dans-la-region-de-France3.html

Administration coloniale, chefferie indigène et relations inter-ethniques dans la région de Franceville de 1880 à 1960

par Serge Romuald ONGALA
Université Omar Bongo - Maîtrise

Un peu d'histoire....Les différentes ethnies du Haut-Ogoué...

Les relations en fonction du milieu et de l'histoire


Source: http://www.memoireonline.com/07/09/2236/m_Administration-coloniale-chefferie-indigene-et-relations-inter-ethniques-dans-la-region-de-France3.html



Les travaux de certains auteurs tels qu'Adolf Cureau173(*), Hubert Deschamps174(*), Martin Alihanga175(*), Claude Cabrol176(*), André Raponda-Walker177(*), Juste-Roger Koumabila178(*) ainsi que la plupart des traditions orales que nous avons recueillies sur le terrain s'accordent à dire que le point de départ des peuples essaimés dans la région de Franceville serait la région de la Haute-Sanga, au nord-ouest de l'actuel Congo-Brazzaville. Dans le même ordre d'idées, Paul Ndjabimba rapporte que :

« Nous tous : Bakani?ì, Bambaama, Måndumu, Bawumbu, Batsitsiãå (Tsayi), Bandjaâi, Bawandji, Batsangi, Batåãå (silence), nous revenons tous du Congo. Nous sommes tous revenus du Congo parce que les Mboshi mangent les gens. Tous les jours, ils mangent les gens. C'est en ce moment que les ancêtres décidèrent de quitter ce pays où les hommes mangent les autres. C'est en ce moment qu'ils sont venus. En venant, de là où nous étions, nous avons emprunté les sources de l'Ogooué et de la Pasa, de la Lesiâß (Sebe). Tout le monde qui descendait ici pour fuir les Mboshi, certains d'entre nous sont passés par les canyons pour aboutir sur la route de Zanaga, d'autres sont venus par la route de Ngàkà-na Mwuâà179(*), par le village de Mekoto »180(*).


La région de la Haute-Sanga semble avoir été un passage obligé pour les populations de la région de Franceville. De là, elles auraient pénétré dans le bassin supérieur de le Lebani (Ogooué) par différentes voies dont les plus connues sont :

la vallée de la Lesiâß, pour les Kani?ì, une frange des Atåãå, les Ndumu, les Ambaama et une frange des Wumvu ;
les savanes de l'est de Franceville (« les plateaux batékés »), pour les Ndzèbi, Awandji, Tsångi et les Atåãå181(*);
la vallée de l'Hindwé (Ivindo), pour une autre frange des Wumvu et des Kèlé de la région de Franceville (Mba?i et Bungom).


Ainsi, partis de la Haute-Sanga pour des raisons diverses, les peuples de la région de Franceville, par leurs trajectoires migratoires communes, pour certains, ont des affinités linguistiques.

Sociéts secrètes du Haut-Ogoué...

Les sociétés secrètes et initiatiques les plus réputées dans la région de Franceville sont:

- le mungala
- le ngoyi
-le lissimbu (des Ikota et Bewumvu)
- le maâayí (des Ndumu)
- l'onkani (des Ambaama)
- le ngåtå (des Bakanigui)
- l'ebagni (des Atåãå)
- le mwiri
- le mawunda (Ndzébi, Awandji et Tsengi)
et l'omfumu (des Atåãå, Bakanigui et Ndumu).



Yolande Sandjo, artiste chante principalement en Bawumbu et valorise le folklore Lissimbu...

Entre tradition et modernité...Kina...



Maquillage traditionnel pour les danseurs et danseuses de Nicole Amogho pour le video clip Kina ( Danse ou la danse en dialecte obamba de la province du Haut-Ogoué au sud-est du Gabon)...La video a été tournée dans l'arboretum de sibang à Libreville, certaines prises ont été tournées au pied d'un fromager centenaire...
Il fallait cadrer à la tendnace tradi-moderne de l'artiste...














REGARDEZ LE CLIP

Blanc, rouge, noir...



Le blanc, le rouge et le noir sont les trois couleurs que l'on retrouve le plus dans les cérémonies initiatiques du sud du pays...Le palmier aussi joue un rôle important dans la vie des populations. Les villages obambas étaient jadis entourés de palmeraies. On retrouve d'ailleurs le symbole du palmier dans le maquillage traditionnel de certaines cérémonies rituelles telles que les initiations à certains rites...

Symbole du visage voilé...


Coutume Fang...


Une tante maternelle d'hortense lui voile le visage avec une feuille de bananier. Elle restera ainsi jusqu'à l'étape de la reconnaissance de la future mariée par le futur marié ou son oncle orateur de la cérémonie...

Le raphia textile...

Le raphia est une fibre extraite des feuilles du palmier raphia. Le raphia appartient à la famille des Arécacées.


Le raphia était aussi utilisé pour les travaux variés de vannerie et tressage (nattes, paniers, etc.) En effet, les femmes affectionnaient particulièrement la vannerie dont le raphia servait de matériel de base. L’art du tissage recourt essentiellement aux fibres de raphia.





L’art du tissage se transmet héréditairement, c’est une activité exclusivement masculine. L’apprenti doit être le fils, le frère cadet ou un neveu utérin du tisserand. Il accompagne l’artisan dans son travail et est chargé des opérations préparatoires, des fibres notamment.
Le tisserand construit son métier à tisser d’une hauteur totale d’environ 1,70 m, en l’orientant de telle sorte qu’en travaillant, il ne soit face ni au levant ni au couchant. Le métier est placé sous la véranda à gauche de l’entrée. Il est de constitution simple, c’est un métier à rang qui se compose essentiellement de deux ensouples entre lesquelles la chaîne est tendue.
Deux pieux profondément enfoncés dans le sol et espacés d’environ 55cm, sont attachés à l’ensouple inférieure. L’ensouple supérieure est reliée par une corde à un bâton fixé dans les chevrons de la toiture. Cette corde permet au tisserand de régler la tension de la chaîne qui est dans une position oblique.
Le métier à tisser comporte différentes parties ayant chacune son nom. Le tissage est une activité qui a une signification profonde. En effet, tant au niveau des gestes, des instruments, que des interdits et obligations auxquels est soumis le tisserand. Les tisserands que j’ai rencontrés à Moupia, n’exercent pas tous les jours et il est interdit de tisser après le coucher du soleil. Les pièces de raphia étaient aussi des éléments importants de la dot.



Les pagnes de raphia de couleur reflètent une importance particulière. Les fils de trame teintes en rouge, en noir ou en gris, employés, permettent d’obtenir des rayures transversales. Suivant la longueur et la largeur de ces fibres, on peut obtenir une infinie variété de dessin. Les pièces sont généralement de même largeur (Environ 40cm), mais leur longueur est variable.
Les pagnes de raphia sont constitués par un certain nombre de pièces de tissu. Ce nombre n’est pas anodin. En effet, certains pagnes ne sont portés que par les chefs de famille et les notables du village. Les franges du pagne ont également leur importance.
La façon dont les coutures sont rabattues revêt une importance particulière. En effet, toute pièce rabattue sur une autre est considérée comme mâle, par rapport à cette dernière.
Le pagne de raphia dans la culture du Haut-Ogoué en général, représente aussi des symboles, c’est une représentation physique du monde des esprits. Il y a deux divinités : Djiami’a’yulu (Dieu du ciel) et Djiami’a’ntchiê (Dieu de la terre), le monde inférieur et le monde d’en haut, le monde supérieur. Cela dénote aussi la dualité de la nature humaine, « Mvuru’o’muo li légulu lébi, li légulu lé vê ! Chaque humain vivant a deux côtés : l’un bon, l’autre mauvais… » Dit le dicton. Ainsi il existe un symbolisme du pagne de raphia, au niveau des coutures qui revêtent une importance particulière par la manière dont elles sont rabattues et qui déterminent le nombre de différentes pièces qui composent le pagne. Le pagne de raphia revêt donc une signification particulière et demeure un objet rituel privilégié.
Les danseurs portaient des pagnes de raphia, en forme de pantalons bouffants. Les costumes de la danse Mali chez les Tékés étaient entièrement réalisés en étoffe de raphia et se résumaient en de longues tuniques qu’accompagnait un foulard. Les fillettes obamba portaient sur leur « obari » des jupettes de fibres de raphia.

mardi 1 décembre 2009

Traditions Haut-Ogoué

Il est important de décrypter le langage des couleurs, de connaître le rôle et l’influence des couleurs sur notre look. En effet, chaque couleur produit un effet précis non seulement sur nous, mais aussi sur notre entourage.

Les couleurs que nous choisissons consciemment ou non véhiculent un message.


J’utilise beaucoup la couleur pour mes créations traditionnelles. Chaque couleur est étudié, utilisée et dosée selon trois caractéristiques distinctes :: la tonalité, la valeur et son intensité. Dans la tradition, la couleur est un vecteur. Comme les formes, les symboles, les sons et les gestes, la couleur permet de transmettre un message mais aussi de communier et de communiquer avec les défunts et les génies.

Dans la tradition altogo-véenne la valeur des couleurs a toute son importance.





Le soleil qui inonde les contrées situées sous l’équateur, se reflète d’une manière particulière sur les matières textiles traditionnelles. A cela s’ajoute la couleur de peau, noir ébène, couleur chocolat fondant, couleur miel ou caramel, qui confère un impact colorimétrique intéressant.

Les tons colorimétriques associés aux costumes traditionnels de la province du Haut-Ogoué étaient généralement le rouge, les différentes valeurs du jaune. Traditionnellement, on utilisait des colorants extraits de plantes et de minéraux locaux. Les teintes brunes et jaunes étant extraites de racines d’arbres. Les teintes ocres étaient couramment utilisées et la couleur rouge était obtenue par la poudre de bois rouge, le santal.

La couleur savane de la fibre et de l’étoffe de raphia conférait aux costumes traditionnels toute leur intensité élevée.

lundi 30 novembre 2009

Design traditionnel

Mariages coutumiers, initiations, circoncisions, retraits de deuils, festivals culturels ou simplement réjouissances traditionnelles, les matières textiles traditionnelles d’Afrique sont déclinées ou tout simplement mariés avec des matières d’ailleurs pour un effet des plus tradi-moderne.
Le design traditionnel prend de l’ampleur sur le continent à tel point que certains créateurs se sont spécialisés dans les cérémonies traditionnelles. Coiffeurs, créateurs de bijoux ou stylistes, le design traditionnel inspire plus d’un. Il permet notamment aux créateurs de découvrir ou redécouvrir les symboles, matières et tradition des différents groupes ethniques et linguistiques.
Chaque cérémonie à ses symboles, ses couleurs, ses matières, ses peintures de corps, ses coiffures et accessoires…
Pour les soins traditionnels avant le mariage coutumier on utilise des produits naturels sans conservateurs, ni colorants, à base de karité, d’huile de palme, huile d’amande douce, et de kaolin, fabriqués par les villageoises. Les fonds de teint et autre fard à joues et paupières font place au kaolin blanc ou rouge, au charbon et à des produits de beauté à base d’huile de palme…

Coutume Teke/Gabon

Coutume Teke/Gabon
Robe bustier en raphia

TEKE du Gabon

TEKE du Gabon

La mode qui nous ressemble

Raphia

Raphia

L’UTILITÉ DES PRÉSENTATIONS AVANT LE MARIAGE


Dans nos coutumes, entre les présentations ( Akèghè en obamba) et le mariage proprement dit, il y a quelques étapes. L'une de se étapes intermédiaire, se nomme " assi sièlè" les vérités en Obamba. Cette étape permet de juger la solidité, du pré-engagement, de le confirmer.



Les présentations permettent de confronter les sages des deux familles. L'orateur de la belle-famille se déclare alors. Cela évite les situations ou l'orateur principal de la belle-famille découvre la famille de la mariée séance tenante. Les présentations représente les fiançailles.



Pouvez-vous vous imaginer ceci: un jeune homme arrive avec sa famille dans votre village, un jour, et un homme que votre famille ne connaît point. C'est un inconnu pour votre famille, votre village, un étranger. Un sage de sa famille décline l'objet de leur présence: ils sont là pour présenter leur leur clan et ont apporté des présents pour votre famille car ils veulent faire de vous une épouse pour leur fils...



Même si les marchandises apportés sont conséquentes, les sages, le chef du village, vos oncles, votre père et/ou votre mère et les siens accepteront-ils la requête ?


C'est invraisemblable! Aucun conseil de sages, quelque soit le village ne peut accepter de donner une des leurs, a des étrangers.

Ils demanderont à ces étrangers de repartir avec leurs marchandises. Les ''étrangers'' devront contacter le conseil des anciens afin de s’enquérir de la marche a suivre. Des discussion s'en suivront.




Les présentations représentent ces entretiens ou les deux familles se présentent, se rencontrent la première fois avant d'envisager le mariage. on y planifis le mariage...



Tant que l'homme ne s'est pas présenté, sur le plan symbolique, votre famille ne le connait pas, même si vous vivez ensemble depuis plusieurs années. Si un décès survient dans sa famille, les membres de votre famille n'est pas dans l'obligation d'y assister , puisque sur le plan coutumier c'est un étranger pour eux. Votre famille ne le reconnaît pas! Or s'il s'est déjà présenté, vous êtes fiancés, il y a promesse de mariage entre vous deux, votre famille doit y être présente.



Les présentations représentent à la publications des bans, et ouvrent les fiancailles, la période d'observation....La publication des bans a pour vocation de faire connaître le mariage à tous, afin que toute personne soit à même de s'y opposer, en démontrant d'éventuels empêchements.



D'aillerus c'est pendnat les présentations que les deux familles déclinent leur arbre généalogique. Lorsqu'arrive la dot, les deux familles se connaissent, si ce jour arrive c'est que rien ne s'est opposé depuis les présentations...







Verdure et feuilles séchées de bananier

Verdure et feuilles séchées de bananier

BAGWOUIN du Gabon

BAGWOUIN du Gabon

COUTUME MYENE

COUTUME MYENE

C'est quoi le raphia?

Le raphia, un élément essentiel de la culture gabonaise

Relooking, 100% Mode

Le styliste est un voyant qui donne à l’habit et au corps une signification et une profondeur nouvelle au moyen de couleurs, de formes et de symboles. L’Art est un langage universel qui traduit des réalités cachées.

100% make up avec 2 make up designers gabonaises

Le maquillage traditionnel

Le maquillage traditionnel est un art qui revêt une signification particulière et a plusieurs fonctions:

-Révéler ses origines: montrer son appartenance à une tribu, un clan,un village, une famille...

-Communiquer avec le monde des esprits

-Affirmer son identité

-Définir une position rituelle


Les substances les plus utilisées pour le maquillage traditionnel étaient le kaolin rouge et blanc, mais aussi le charbon, ainsi que certaines substances végétales.

Aujourd'hui, pour les maquillages traditionnels, on utilise aussi des peintures spéciales, des crayons et autres poudres spéciales; cependant ces produits spécialisés ne peuvent en aucun cas, produire le même effet sur le plan traditionnel et spirituel que le kaolin.

La texture argileuse du kaolin évoque la terre d'où nous sommes tirés et qui nous engloutira lors du voyage vers l'autre monde.

Le kaolin blanc (Okoula en Obamba) est fréquemment utilisé pour le maquillage traditionnel. Mais que savons-nous exactement du kaolin? Le mot kaolin vient de Kao-Ling, nom chinois d'un lieu où l'on extrayait le kaolin. Argile blanche, friable.

Son principal composant est la kaolinite. le kaolin est présent sur tous les continents en abondance.

Dans la Grèce antique, les femmes confinées dans leur gynécéé, s'enduisaient de kaolin, c'était la marque d'une conduite irréprochable. Ici, chez nous, le kaolin est un élément qui revêt plusieurs symboliques. Il est donc utilisé pour maquiller le visage et le corps au cours de cérémonies rituelles comme le mariage coutumier.

Le maquillage traditionnel affirme l'identité avec ses couleurs symboliques et ses motifs traditionnels. Même les endroits du visage et du corps maquillés ne sont pas anodins: l'arcade sourcilière qui encadre l'oeil, le maquillage se prolonge sur la ligne médiane du nez et peut se prolonger jusqu'au menton.

Les formes représentées sont rattachées à la circonstance, à l'évènement, mais les formes les plus représentées chez la femme, sont le palmier (Oba), les lunes (Agondo) et le cercle. Ce sont en quelque sorte un langage codé que les personnes présentes averties doivent, peuvent ou devraient déchiffrer.

Lorsque la future mariée sort, son maquillage tout comme sa mise vestimentaire sont savamment scrutés, d'où l'importance de ces deux éléments qui ne sont pas des moindres.

Ces éléments avec les gestes symboliques de la future mariée constituent un pôle de renseignements pour les membres de sa belle-famille.

Après les substances et les formes, les couleurs utilisées constituent elles aussi un élément important,car chacune d'elles renferme un sens symbolique. La couleur blanche est la couleur des esprits. Le rouge est la couleur de l'appel. Elle est obtenue à partir de la sciure de bois de Padouk et le noir à partir du charbon. le rouge est la couleur de celui qui veut aller plus loin. Et ce sont ces trois couleurs que l'on retrouve dans bon nombre de cérémonies traditionnelles.

En d'autres termes, le maquillage traditionnel est un habit qui doit répondre à un code traditionnel dicté par votre tradition, votre coutume.

UN MAQUILLAGE QUI REVELE NOTRE TRADITION...

UN MAQUILLAGE QUI REVELE NOTRE TRADITION...

Soins traditionnels

Chaque cérémonie à ses symboles, ses couleurs, ses matières, ses peintures de corps, ses coiffures et accessoires…Pour les soins traditionnels avant le mariage coutumier on utilise des produits naturels sans conservateurs, ni colorants, à base de karité, d’huile de palme, huile d’amande douce, et de kaolin, fabriqués par les villageoises... Les fonds de teint et autres fards à joues et paupières font place au kaolin blanc ou rouge, au charbon et à des produits de beauté à base d’huile de palme…